Doriane t'accompagne dans le développement de ton entreprise en faisant du customer care sa plus grande force ! Prêt.e à enchanter tes clients et ton CA ?
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juin 30, 2021
Le mindset fait parti des éléments les plus essentiels afin de développer une entreprise. Mais, c’est également difficile à travailler : c’est quelque chose d’impalpable et il n’existe pas de plan d’action concret, étape par étape, pour y arriver. Le mindset est en constante évolution.
Cependant, développer un mindset de CEO est accessible à tout le monde à mes yeux. Toutefois, cela nécessite de la volonté et de la détermination, de travailler sur soi, mais aussi sur son propre entourage, ce qui n’est pas à la portée de tout le monde. Dans cet épisode, je t’explique la manière dont j’ai pu développer le mindset de CEO que j’ai aujourd’hui. Belle écoute !
Dans un premier temps, il faudrait définir ce qu’est le mindset, l’état d’esprit en français. C’est un état psychique, notamment affectif, lié à nos émotions : c’est notre attitude intérieure.
Pour ma part, je dirai même qu’il s’agit de l’état psychique dans lequel on choisit d’être selon les interactions extérieures, en fonction des informations que l’on reçoit, que l’on perçoit et les interactions intérieures que l’on peut avoir (sentiments, humeurs, motivations…)
Afin de cultiver un état d’esprit d’entrepreneure, il faut prendre en compte l’environnement dans lequel on évolue et se demander s’il est favorable ou non. Je fais écho à l’épisode où je te disais qu’on me prédisait toujours un sale avenir. Il faut savoir que beaucoup de choses, comme notre éducation, notre famille, les conditions de notre enfance entre autres, influencent notre état d’esprit.
Cependant, même si l’on n’a pas vécu dans un cadre favorable, on peut le déconstruire et se forger sa propre opinion. On pourrait prendre pour exemple un enfant élevé dans une famille très raciste ou alors dans un cadre où les garçons sont favorisés par rapport aux filles (plus de libertés, par exemple) par rapport à la culture, notamment.
Dans les deux cas, lorsque l’enfant atteint l’âge où il peut penser par lui-même, il peut faire l’effort de chercher les informations. Effectivement, cela nécessite de la volonté pour sortir de cela, parfois même de devoir remettre en question ce que nos parents nous ont appris.
Ce qu’il est important de retenir dans ces deux exemples, c’est le fait de pouvoir faire ses propres choix, de faire l’effort de chercher la façon de pensée qui nous conviendrait, malgré le cadre dans lequel on vit.
Je vais donc te donner quelques clés qui m’ont permis de construire mon état d’esprit de CEO. Je tiens d’ailleurs à te prévenir que certaines thématiques abordées, notamment la première, peuvent provoquer de fortes émotions, car ce sont des sujets souvent très tabous.
La première clé qui m’a permis de forger mon mindset de CEO, c’est mon rapport à la mort. C’est le fait d’accepter qu’on meure tous un jour, dans 1 an ou même 10 secondes. À partir du moment où on l’a conscientisé, on arrête de le subir. Il y a des gens qui vivent dans la peur, qui ne veulent pas y penser, car ça les effraie. Il faut comprendre que sans mort, il n’y a pas de vie : c’est quelque chose d’évident et de normal.
Lorsque l’on part de ce principe, on vit différemment. Quand on se rend compte que tout peut s’arrêter, on profite davantage de la vie. On a envie d’aller au bout de ses projets et de ce qu’on fait. C’est une clé qui me permet de profiter de mes proches, de m’impliquer dans mon business, de vouloir l’emmener loin, tout en ayant un certain détachement : si ça ne marche pas, eh bien tant pis. C’est une philosophie qui me permet de prendre énormément de recul.
Pour développer son mindset, il est important d’apprendre à penser à soi. Bien évidemment, pas de façon égoïste, mais il s’agit là de penser à son propre bien être. Concernant mon business, je choisis les stratégies marketing, les tendances de produits et services qui me plaisent, sinon je ne les mets pas en place. Je pense à mon bien être physique et psychologique d’abord.
De ce fait, l’évolution de mon business découle de ces choix que je fais. C’est un point très important pour pouvoir bien développer son activité, auquel cas l’on risque de créer un monstre, qui bouffera notre énergie et ce n’est clairement pas le but !
Lorsque quelqu’un de ton entourage, sur tes réseaux ou autre, reçoit une bonne nouvelle, analyse ton premier sentiment. Si tu ressens du bonheur, un sentiment positif, c’est que tu es sur la bonne voie. Cependant, si tu te sens coupable, que tu es triste, envieux, voir jaloux, que les gens ne devraient pas s’afficher, c’est que tu dois absolument travailler sur ton mindset.
Le bonheur des autres ne doit pas avoir d’impact négatif sur toi et c’est vraiment un travail à faire sur soi-même. Il faut en priorité se réjouir, au-delà de ton état émotionnel, au moment où tu reçois la joie de l’autre. Afin de travailler ton mindset, je vais te donner des axes sur lesquels te pencher. Ces clés restent impalpables, mais ce sont des pistes qui pourraient t’aider.
Malheureusement, nous n’évoluons pas dans un monde qui nous apprend à penser comme ça. Plus j’avance et plus je me rends compte que ce n’est pas le cas. Tout est possible, bien entendu, mais ça n’arrivera pas en un claquement de doigts, car il y a des choses à mettre en place. Cependant, s’il y a quelque chose que tu peux et que tu veux créer, fais-le !
Avant de me consacrer à l’entrepreneuriat, j’ai quitté mon emploi qu’on pourrait qualifier de job de rêve : je dirigeais une équipe, j’avais un super salaire, je bossais à l’international. Mais à ce moment-là, je ne me serai jamais dit que dans un an, je serai entrepreneure.
Lorsque je me suis lancée, je générais 1500 € par mois en freelancing et jamais je ne me serai dit qu’un an plus tard, je serai capable de générer 10 000 € en 48 heures lors d’un lancement. Et aujourd’hui, j’arrive à faire des lancements qui me rapportent plus que ce que j’aurai pu envisagé il y a un an et je me dis qu’il est fort probable que, dans quelques années, je puisse faire plusieurs centaines de milliers d’euros à l’année. Auparavant, je ne pensais pas que ce serait possible.
Aujourd’hui, je sais que ça l’est : si je souhaite faire 1 million (c’est un exemple hein), je sais que je peux, il faut que je mette les choses en place pour y arriver.
Ce que tu dois comprendre, c’est qu’il faut conscientiser le fait que tout est possible. Notre subconscient l’intégrera. Notre cerveau travaille en permanence ! Alors si tu fournis 20 % d’efforts conscients, en te disant « oui je vais y arriver », ce sont les 80 % restants de ton cerveau qui vont faire le reste du travail sur ton mindset.
Si tu te dis qu’une idée est bien trop grande, note-la, analyse-la et regarde ce que tu peux mettre en place pour la réaliser. Il ne faut pas émettre plein de croyances limitantes (peur d’investir, de demander de l’aide, etc.) Bien entendu, un projet ne se monte pas du jour au lendemain. Laisse ton esprit te dicter les choses afin d’y revenir plus tard. N’aie pas peur de voir grand et ne limite surtout pas tes ambitions !
Tu as le droit d’être triste, d’être déprimée et de te plaindre. Je ne te dis pas qu’il faut sourire en permanence. Ce qu’il faut comprendre, c’est que tu dois apprendre à accueillir les sentiments que tu ressens, bon comme mauvais.
Ce qu’il faut faire, c’est qu’il faut apprendre à évacuer tes pensées négatives pour se remettre dans un bon état d’esprit. Ce qui marche pour ma part, c’est de me mettre à la place de quelqu’un qui a une situation pire que la mienne. Je me dis que j’ai beaucoup de positif dans ma vie et je suis remplie de gratitude. Le fait de prendre conscience de chaque bienfait que l’on a dans sa vie, d’en être reconnaissant, cela change absolument tout.
D’ailleurs, cela permet encore une fois de se dire que tout est possible.Tu peux également analyser ces pensées parasites et les contredire de suite, en les annulant avec une pensée positive si cela est possible. C’est une gymnastique de l’esprit. Au début, on se force et au fur et à mesure, cela devient une habitude et l’on ne se rend plus compte qu’on le fait. Encore une fois, c’est 20 % d’efforts pour 80 % du travail effectué par notre subconscient.
Au départ, il faut travailler sur soi pour pouvoir se détacher de ce que pensent les autres, afin de faire ce que l’on souhaite et ce qu’on a envie.
Cependant, il faut apprendre à recevoir des critiques, même négatives, lorsqu’elles sont constructives ! Elles sont source d’inspiration pour notre propre évolution, pour que l’on puisse s’améliorer. Écouter ceux qui sont déjà passés par le chemin que l’on s’apprête à prendre permet de s’approprier leurs expériences et les leçons.
Pour développer un mindset de CEO, il faut continuellement se remettre en question, ne pas être touchée par les mauvais jugements des autres, savoir saisir les opportunités dans les conseils et les expériences des autres pour s’en servir pour notre propre business.
Pour réussir et mener à bien son projet, il y a plusieurs facteurs qui vont entrer en compte comme nos moyens financiers, nos relations par exemple. Deux personnes avec le même projet n’auront pas les mêmes paramètres pour leur point de départ. C’est en partie la raison pour laquelle il y a en a qui réussissent en quelques mois et d’autres plus lentement.
En 2014, je me suis lancée en tant qu’e-commerçante. Cela n’a pas très bien fonctionné. J’ai continué à être salariée, tout en me répétant qu’un jour, je trouverai ma voie entrepreneuriale. Et c’est 6 ans plus tard que je l’ai trouvée, ce que je voulais partager, la façon dont je voulais aider les autres entrepreneurs. Mon business autour du customer care s’est véritablement déployé en 2020.
C’est pour cette raison qu’il faut être endurant et persévérant. Si l’on croit et que l’on aime sincèrement son projet, on le sera forcément : on continuera et on ne lâchera pas. Dans le cas contraire, cela veut dire que ce n’était pas fait pour nous, que l’on n’aimait pas vraiment ça.
Je vois parfois des personnes qui changent de business tous les 4 mois. Cette durée n’est bien évidemment pas suffisante pour déterminer la viabilité d’un projet, il faut le compter en années. Mais si tu lâches au bout de quelques mois, c’est que tu n’aimais pas vraiment ça. Ce qu’il faut faire, c’est apprendre à analyser la raison pour laquelle on veut abandonner son idée. Il vaut mieux arrêter plutôt que de s’enfermer dans quelque chose que l’on n’aime pas.
Les résultats de ton business sont d’abord le résultat de la santé de ton état d’esprit. Se forger un mindset de CEO n’est pas chose facile pour tout le monde, mais il y a des axes sur lesquels tu peux d’ores et déjà travailler :
La façon dont se porte ton business est le reflet de ton état d’esprit actuel. Tu peux faire appel à une aide extérieure si tu sens que ton état d’esprit n’est pas au beau fixe : coach en mindset ou même un psychologue. Ce n’est pas une honte, bien au contraire. Reconnaître que l’on a besoin d’aide, c’est qu’on veut agir ! Un entrepreneur apprend à résoudre des problèmes et cherche des solutions : c’est cela agir en chef d’entreprise et développer un mindset de CEO.
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