Doriane t'accompagne dans le développement de ton entreprise en faisant du customer care sa plus grande force ! Prêt.e à enchanter tes clients et ton CA ?
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janvier 5, 2022
Je suis passionnée par le voyage et je pourrai même dire que c’est une addiction. Mais, j’ai ce côté sédentaire qui fait que j’aime également avoir un foyer où revenir. Ce qui n’est pas le cas de tout le monde qui trouve leur bonheur en étant 100% nomade.
C’est le cas de Leyla, qui est partie vivre depuis plusieurs mois à Bali avec son conjoint et vivre de son business avec un sac à dos. Je suis heureuse d’échanger avec elle sur le voyage et le fait de s’expatrier.
Par ailleurs, en tant que customer care manager et prestataire de service, on peut parfaitement vivre à l’autre bout du monde tant que ton business modèle s’y prête.
Dans cet épisode, tu retrouveras l’histoire du départ de Leyla avec ses meilleurs conseils pour devenir digital nomade grâce à ton business et ainsi t’aider à passer à l’action pour concrétiser tes envies de voyage.
Tu peux retrouver Leyla ici :
Son site Son Podcast Son Instagram
Pour voyager avec un sac sur le dos, il faut qu’il y ait l’envie. Leyla a toujours voulu voyager depuis petite : aller à la rencontre de nouvelles cultures, des différences, c’était une passion. Devenir digital nomad collait avec cette passion : pouvoir travailler tout en voyageant.
Elle consommait énormément de contenus digitaux d’entrepreneurs outre-Atlantique et était désespérée du fait qu’en France, ce concept était parfaitement inconnu.
Elle travaillait en tant que consultante business pour des entreprises du CAC 40, puis elle en a eu marre de cette ambiance trop corporate. Son cerveau arrivant à saturation, elle s’est dit que ça ne servait à rien de regarder les autres faire, qu’il fallait qu’elle se lance et qu’elle se donne les moyens. Et c’est ainsi qu’elle a lancé son business Fruit de ta Passion.
Leyla n’est pas seule avec ce rêve de partir dans d’autres pays. Son conjoint fonctionnait encore de façon plutôt traditionnelle : gravir les échelons dans sa carrière professionnelle. Il ne pensait pas qu’un tel projet était possible.
Leyla s’amusait dans son activité, avait de superbes résultats et c’est ainsi qu’il a commencé à se donner l’autorisation de se dire que c’était possible.
Ils ont posé les objectifs de CA pour prévoir leur départ et ont décidé en janvier 2021. Ce projet était parfaitement réfléchi et Leyla est heureuse aujourd’hui d’avoir permis à son conjoint de changer d’avis sur le sujet et de se dire que oui c’est possible de voyager, travailler et vivre sa vie.
Leyla avait convenu de plusieurs étapes avant de se lancer dans ce projet :
Et lorsque toutes les étapes ont été remplies, c’était un peu la course étant donné qu’ils devaient tout quitter : vendre la voiture, prévenir les proches, continuer à gérer le business à côté. Leyla a dû prendre moins de coaching pour l’aspect administratif, repenser le business modèle avant même de partir pour qu’il soit parfaitement adapté.
Le départ a été organisé sur plusieurs mois. Il y a eu de l’angoisse, des doutes, en se demandant ce qu’elle allait faire à l’autre bout du monde, car c’est quelque chose de très peu commun. Mais ces émotions étaient parsemées d’enthousiasme, car ils réalisaient leur rêve : leur projet allait prendre vie.
Je remarque qu’il y a de plus en plus d’hommes qui se greffent au business de leurs conjointes (que ce soit à cause de la perte d’emploi avec la crise sanitaire ou parce qu’elles sont plus épanouies qu’eux). Pourquoi ne pas être deux à s’amuser en libérant son potentiel professionnel dans un business ? Chose qui semble être plus facile dans l’entrepreneuriat qu’en étant salarié.
Pour le projet de digital nomad de Leyla, elle avait commencé à travailler un peu de temps en temps avec son conjoint. Il l’aidait notamment sur sa communication sur Instagram.
Ça a été étrange pour elle de devoir partager son « bébé », de devoir laisser la main et d’accepter certaines décisions. Mais cela lui a permis d’en apprendre plus sur elle-même et sur lui et de mieux cerner leurs forces et leurs faiblesses.
Leyla a tendance à prendre les choses de manière plus personnelle, tandis que lui réfléchit de façon plus stratégique, ce qui fait qu’il apporte une autre dynamique à la communication.
C’est un challenge de travailler avec une personne supplémentaire. Ce n’est pas forcément facile, même s’il s’agit d’un proche. Mais à partir du moment où l’on commence à comprendre un peu comment fonctionne l’autre, c’est là que les idées fusent de partout et que le travail devient plus lisse.
Ce que Leyla recommande, c’est d’impliquer la personne dans des petites choses de son activité, en prenant un aspect (Instagram par exemple). C’est de lui laisser la main sur des petites décisions : il se sentira concerné et impliqué, et petit à petit, il voudra aller plus loin de lui-même si cela fait sens pour lui.
Tu peux travailler avec lui, demander son avis de temps en temps, lui faire relire, sans forcément qu’il quitte son travail pour te rejoindre tout de suite. Il y a forcément une transition obligatoire pour ne pas créer un énorme fossé.
L’Indonésie est très optimisée en termes d’entrepreneuriat. Ils ont pu rencontrer énormément d’entrepreneurs sur place, dans tous les domaines confondus et de pouvoir échanger.
Par rapport à son activité, Leyla a dû réadapter pas mal de choses. Avec le décalage horaire de 6 heures, elle anime ses sessions de coaching plutôt l’après-midi, voire le soir. Elle a même organisé une masterclass à minuit pour s’adapter à ses clientes.
C’est un point d’honneur sur lequel elle ne veut pas déroger. C’était son choix de vie et ce dernier ne doit pas empiéter sur le travail qu’elle fait avec ses clientes.
Elle s’est créé des routines, qui se sont imbriquées de façon naturelle dans son quotidien, chose qu’elle avait tenté de faire quand elle vivait encore sur Paris.
Leyla s’était renseigné un minimum sur Bali avec des personnes qu’elle a rencontré sur les réseaux sociaux. Cependant, il y a des petites choses qu’il faut vivre sur place pour mieux les comprendre.
Le fait de devoir bouger tout le temps, de ne pas avoir de bureau, d’anticiper les problèmes de connexion, de batterie, etc. sont les petits inconvénients. C’est en échangeant avec les entrepreneurs sur place qu’elle a compris comment ça fonctionnait, bien plus qu’à distance.
Beaucoup de personnes veulent partir (ou en rêvent) pas forcément en tant que digital nomad, mais peut être juste pour s’expatrier. Pour passer de l’envie à la concrétisation de ce projet de vie, Leyla te donne quelques derniers conseils :
Si tu veux t’expatrier ou encore devenir digital nomade comme Leyla, sache que la prestation de service est un business modèle qui s’adapte parfaitement à ce style de vie. Je pense notamment au métier de customer care manager !
Si tu n’as pas encore d’activité ou que tu souhaites ajouter une autre corde à ton arc, le quiz d’entrée pour le campus customer care t’attend ! Tu pourras rejoindre les bancs de cette nouvelle cohorte où la rentrée aura très vite lieue !
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