De 400 € de congé parental à 4 000 € de chiffre d’affaires mensuel : l’histoire inspirante d’Esther

Comment tenir quand les résultats ne viennent pas ? Comment croire en soi quand tout semble lent, flou, incertain ?

Dans cet article, je te partage l’histoire d’Esther. Une jeune maman de deux enfants, ex-gestionnaire SAV, qui a osé se reconvertir en Customer Care Manager. Elle a envoyé plus de 100 candidatures. Elle a attendu 7 mois pour signer sa première mission. Et elle a persisté. Jusqu’à atteindre, aujourd’hui, plus de 4 000 € de chiffre d’affaires mensuel.

Son parcours, c’est bien plus qu’un exemple de réussite. C’est une masterclass de mindset, de persévérance, et de construction pas-à-pas d’une vie professionnelle choisie, alignée… et rentable.

Un parcours de reconversion (et de vie) pas comme les autres

Esther a découvert le métier de Customer Care Manager après son congé maternité. Maman d’un petit garçon et d’une petite fille, elle voulait une activité qui ait du sens, qu’elle puisse exercer depuis chez elle, tout en respectant son rythme familial. Elle rejoint alors le Campus Customer Care, où elle se forme à ce métier d’avenir.

« J’étais super fière d’être diplômée. Mais j’étais aussi un peu triste de ne pas décrocher tout de suite ma première mission. »

Le Campus Customer Care est un tremplin incroyable pour démarrer une nouvelle vie professionnelle, mais dans beaucoup de cas, le succès n’est pas immédiat. Il est précédé d’une période de recherches, de prospection et de candidatures. La réalité lui rappelle que toute réussite durable prend du temps. Alors, elle cherche. Elle postule. Elle échange. Plus de 100 candidatures envoyées. Sans succès. Jusqu’à…

Le bouche-à-oreille et la force des connexions humaines

La première mission d’Esther, elle ne l’a pas trouvée sur une plateforme, ni dans une offre d’emploi.

« J’ai fait un échange de services avec une entrepreneure… qui m’a ensuite recommandée à un ami à elle. »

Cette recommandation change tout. Elle décroche une première mission. Puis une deuxième avec cette même entrepreneure. Puis d’autres, toujours par réseau ou retour d’expérience.

💡 À retenir : même sans résultat immédiat, chaque échange est une graine plantée.

Et parfois, il faut juste patienter pour voir la floraison.

Mindset : ce qu’elle a cultivé pour tenir 7 mois sans abandonner

Ce qui frappe chez Esther, c’est sa résilience discrète.

Elle aurait pu abandonner à 3 mois. Elle aurait pu se dire que ce métier n’était pas fait pour elle. Mais elle a choisi de croire en son potentiel.

« Même si c’était difficile, je me disais : je donne tout. Et si ça ne marche pas, au moins je n’aurai pas de regrets. »

Elle parle aussi de la force de son entourage : son mari, sa famille, les autres CCM du Campus. Et de ses routines : 10 candidatures par semaine, des discussions régulières avec d’autres freelances, des échanges d’astuces, des auto-évaluations.

Elle n’a pas attendu la perfection. Elle a choisi la régularité.

Et ça, c’est ce qui fait toute la différence.

📈 De 400 € à 4 000 € : l’évolution de son chiffre d’affaires

Les chiffres parlent d’eux-mêmes :

• Janvier : 2 100 €
• Février : 2 600 €
• Mars : 2 800 €
• Avril : 3000€
• Mai : 3800€
• Juin : +4000 €

Son chiffre d’affaires a augmenté non seulement grâce à ses deux clients réguliers, mais aussi grâce à des missions ponctuelles bien rémunérées.

Elle travaille aujourd’hui environ 30h par semaine, réparties entre traitement d’emails, suivis clients, création de process et tâches transverses.

Et surtout ? Elle ne culpabilise plus de vivre une vie alignée avec ses besoins :

« Je sais maintenant que je suis capable d’être cheffe d’entreprise et maman. Et que je suis légitime à gagner ce que je gagne. »

Ce que son histoire nous enseigne

1. La réussite ne dépend pas que de la vitesse. Elle dépend de la constance, du courage et de la capacité à continuer, même sans retour immédiat.
2. Les soft skills comptent. Le sérieux, l’enthousiasme, l’écoute, la capacité à incarner le métier de CCM… tout cela se sent. Et attire les bonnes opportunités.
3. Il faut oser parler de ses ambitions. Esther a parlé de ses recherches autour d’elle, dans sa promo, avec d’autres élèves. Ce sont ces conversations qui ont ouvert des portes.
4. Chaque échec est une brique. Elle a utilisé chaque refus comme un retour d’info pour affiner sa posture, son discours, sa présentation.

« Je suis passée d’un doute profond à une posture affirmée. Et ça se ressent. »

Tu veux toi aussi vivre une reconversion professionnelle épanouissante et rentable ?

Si tu rêves d’un métier indépendant, avec du sens, et qui valorise tes qualités humaines…

→ Le Campus Customer Care est fait pour toi.

Et si tu veux déjà savoir si ce métier est vraiment fait pour toi :

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Parce que la réussite, ce n’est pas toujours bruyant. Parfois, c’est un murmure… qui tient bon.