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juillet 1, 2020
Après avoir parlé du premier trimestre de grossesse, du second puis du dernier, on attaque le dernier épisode de la série maternité & entrepreneuriat avec le post partum. Et même un peu plus puisque maintenant que Mini Baker a 6 mois, j’ai pas mal expérimenté l’entrepreneuriat avec un bébé. S’il y a une chose que je peux te balancer comme ça : c’est sport, déroutant, mais tellement merveilleux !
Congé maternité d’entrepreneur, reprendre son activité, le changement d’organisation et de rythme, bref je te livre mes ressentis* et mes méthodes* pour ces 6 premiers mois de cette nouvelle vie de maman.
Ce sera le dernier contenu que je ferais sur le blog et en podcast à ce sujet. Si jamais je veux de nouveau aborder la maternité, je le ferais sur mes réseaux sociaux. Donc si tu as la moindre question, n’hésite pas à la poser car je prévois une FAQ en IGTV. Belle lecture et bonne écoute.
*je prends la peine de préciser que tout ce que je dis dans cet article et podcast se base sur ma propre expérience personnelle de la maternité. Nous avons toutes des grossesses et des posts partum différents. Nos bébés aussi sont tous uniques. Il est possible que tu te retrouves dans mon témoignage et que mes astuces fonctionnent pour toi. Comme il est possible que tu ne comprennes pas comment j’ai pu ressentir ou vivre telle ou telle chose et que mes conseils soient totalement inutile pour ta situation. J’aime parler maternité donc si tu traverses une période difficile et que tu as besoin de te livrer, n’hésite pas ! De même si tu es ultra épanouie et que tu as juste envie de t’exprimer, ma lecture bienveillante t’attend.
Le post partum c’est la période qui vient juste après l’accouchement, en général les 3 premiers mois. Je m’étais beaucoup renseigné sur tout ce qui touchait à la grossesse, l’accouchement et cette fameuse période qui a la réputation d’être très difficile. J’ai adoré écouter le podcast Bliss Stories qui m’a appris énormément de choses et qui m’a permis d’écouter des témoignages très variés sur la maternité et le post partum.
Pendant cette période, on subit une importante chute d’hormones et surtout on s’adapte à une vie totalement différente. On n’a plus à s’occuper seulement de nous, maintenant un autre être humain devient la priorité numéro 1. Il passe avant nous, avant notre douche, avant nos repas, on développe une capacité incroyable à se retenir de faire pipi aussi.
C’est une période qui peut être très perturbante et apparement, beaucoup de femmes le vivent très mal : dépression, tristesse, énorme fatigue, rejet de leur bébé, grosses douleurs physiques aussi dû à l’accouchement, surtout si césarienne il y a eu…
En entendant tous ces témoignages, j’ai pas mal flippé et je me suis préparée au pire. En plus, plusieurs connaissances m’ont dit : “se préparer à l’accouchement c’est bien, mais le pire c’est après, prépare-toi au post partum c’est horrible comme période“.
Donc pour moi, ça allait être l’apocalypse.
Niveau business pour me préparer à cette période, j’avais créé et planifié tout le contenu de janvier, février et mars. Je m’étais assurée de n’avoir quasiment rien à faire pendant ces 3 mois.
Avant de répondre à cette question, je vais te situer rapidement le contexte. Je suis 100% entrepreneure depuis fin 2018. Je suis tombée enceinte en avril 2019 et j’ai donné naissance fin décembre de la même année (forcément).
En 2019 j’effectuais surtout des missions freelance en customer care et community management. J’avais planifié pour 2020 de surtout développer mon propre business et forcément, c’est l’année que j’ai choisie pour réaliser mes plus gros projets entrepreneuriaux. Autant te dire que le timing ne semble pas parfait sur le papier…
Cependant, moi, contrairement à tous les témoignages que j’ai entendus, j’ai extrêmement bien vécu mon post partum. J’attendais la vague de douleur, la vague de tristesse, de dépression. Rien. Elle n’est pas venue cette vague (tant mieux).
J’ai tellement aimé cette période cocon. C’était clairement une période hors du temps et de l’espace. Je ne pensais qu’à mon bébé et à moi. J’ai eu la chance de pouvoir penser qu’au bébé et moi : je n’ai pas d’autres enfants, mon mari est ultra investi dans son rôle de papa et aussi dans tout ce qui est tâches domestiques. On avait beaucoup communiqué sur le post partum et les éventualités que ça n’aille pas pour moi. Il était prêt aussi.
Et au final, le fait qu’on s’attende à l’apocalypse a rendu tout beaucoup plus facile. On se disait « mais nan ça va, un nourrisson ça dort beaucoup en fait ! ».
Alors oui, j’ai tout de même fait face à certains phénomènes déstabilisants : mon corps déjà ! Disons-le, après une grossesse et un accouchement on est pas mal en vrac physiquement. Je me sentais vide, je n’avais plus de force et j’étais fatiguée. Mais j’avais connu des fatigues pires que celle-ci dans ma vie genre, pendant une grippe. Donc ça allait tout de même.
Ensuite j’ai subi cette fameuse chute d’hormones et effectivement j’étais ultra sensible. Moi qui n’ai pas la larme facile, là je pleurais devant les films, devant des pubs parfois et je ne supportais pas que trop de monde prenne mon bébé. J’étais en panique quand des enfants l’approchait. Mes émotions en fait étaient décuplées et heureusement, l’émotion la plus présente était le bonheur.
C’est quelque chose que j’ai eu du mal à gérer. Ressentir autant de bonheur. C’était ça, ma vague à moi. Mais, je n’ai pas eu de douleur physique, ni mentale. J’étais bien. Juste bien.
Pendant cette période, j’animais tout de même mes réseaux sociaux et je bossais un peu depuis mon téléphone, mais ça ne dépassait pas une heure par jour. Vu que j’avais tout planifié, je ne m’inquiétais de rien.
Mais comme tout se passait bien pour moi, au bout de 15 jours de repos et de cocooning après être revenue de la maternité, je me suis dit que j’allais reprendre tout doucement.
Pourquoi reprendre aussi vite alors que j’étais tranquille jusqu’à mi-mars ? Parce que j’en ressentais cruellement le besoin. Je ne supporte pas de rester « inactive ». J‘avais envie de travailler, de reprendre ma passion. Et surtout, de me préparer à reprendre vraiment. Je voulais m’adapter, voir comment j’arrivais à gérer le boulot + le bébé.
En effet, j’ai fait le choix de ne pas mettre mon bébé en garde. Bon choix ou mauvais choix, seul l’avenir me le dira. Je travaille de chez moi, d’où je veux en fait et j’avais l’ambition de gérer les deux. Je l’ai toujours, cette ambition 6 mois après.
Donc j’ai repris tout doucement, 2h par jour, 3h puis 4h par jour. En fait je travaillais quand je me sentais en forme et pendant les siestes de mon bébé. Durant ces deux premiers mois, elle faisait de très longues siestes.
Par ailleurs, elle a très vite dormit la nuit aussi. Je suis désolée pour toutes les mamans qui me liront, dont les bébés ne dorment toujours pas la nuit. Si je pouvais vous offrir des heures de sommeil, je le ferais ! C’est la première chose qui m’a étonné et qui me faisait limite peur car je trouvais qu’elle restait trop longtemps sans manger.
Donc, ses nuits m’ont aidé à bien récupérer déjà. Pendant plusieurs mois minie Baker dormait de 22h à 10h du matin. Et c’était un immense bienfait car je suis une personne qui gère extrêmement mal la fatigue. Si je suis fatiguée, je somnole. La première à vouloir partir dans les mariages, it’s me ! Veiller jusqu’à plus de 1h du matin me demande un énorme effort. Si un jour je viens à ton mariage et que je reste jusqu’à la fin, sache que c’est que je t’aime énormément car je vais mettre une semaine à m’en remettre.
Donc, revenons à nos moutons, moi je dormais à 22h aussi mais me levais à 6h et je bossais déjà très bien de 6h à 10h.
Le « souci » avec un bébé, c’est que son rythme change et évolue. Une organisation valable pendant un mois, ne l’est plus du tout le mois d’après…
C’est certainement la partie la plus frustrante de ma vie de maman : l’organisation. J’aime quand tout est carré, clair, limpide. J’aime pouvoir bosser quand je l’ai planifié. Mais un bébé ne tient pas compte de l’agenda. Donc en fait, j’ai dû m’habituer à un planning flottant et ça, ça a été le plus difficile.
J’appelle un planning flottant le fait de noter les tâches à faire dans la semaine, et hop dès qu’une sieste se déclanche on chope une tâche qui flotte là, qui est en attente au-dessus de notre tête et on s’y met right now. Car ses siestes pouvaient certes durer 2h et là c’était cool, j’étais large pour faire ce que j’avais à faire. Comme parfois elles pouvaient durer… 7mn.
Dans mon vécu de la maternité, c’est cette partie-là la plus frustrante. De caler toute ma vie, toute mon activité et mon boulot sur le rythme d’un bébé. Mais c’est une faible contribution à payer.
En effet, le fait d’avoir un bébé m’a rendu tellement plus productive ! Ce que je faisais en une journée de boulot avant, je peux le faire en 2-3h maintenant ! Incroyable !
Avant d’avoir un bébé je disais déjà « j’ai pas le temps j’ai trop de choses à faire« . Je ris de moi aujourd’hui et je me dis « mais qu’est-ce que je foutais toute la journée ? ».
Pourquoi mon business n’est pas déjà 100% en place ? Pourquoi je n’ai pas réalisé mes gros projets avant au lieu de procrastiner sur des éléments du business que je pouvais faire plus tard, déléguer ou même ne pas faire car ce n’était que des détails ?
La perception du temps et des priorités se transforme totalement à l’arrivée d’un nourrisson. Les nuits peuvent être décalées, on est à la disposition de son bébé surtout si on allaite. Ça le papa ne peut pas le faire à notre place.
Donc même si on est ultra concentrée sur la création d’un projet, si bébé a faim, on lâche tout et on dégaine les nénés. Donc ce côté, on a peu de temps nous fait saisir toutes les opportunités pour bosser et je trouve, perso, que je travaille mieux.
Sans l’investissement de mon mari dans la gestion de la maison et avec notre bébé, je ne sais pas comment j’aurai fait. Maintenant que les premiers mois sont passés, quand il ne travaille pas c’est lui qui prend soin de Mini Baker quand je travaille. C’est aussi lui qui s’occupe régulièrement des repas et des courses.
Il sait que j’ai besoin de temps pour mon activité, il voit que j’aime ça, que je suis passionnée et je ne le remercierai jamais assez pour ça. Il fait de son mieux pour me libérer du temps.
Il est trop timide encore pour témoigner sur le podcast sur le fait d’être marié à une entrepreneure accro au travail, mais je compte bien t’en parler un jour car je pense que ça pourrait aider un grand nombre de mecs, en couple avec des girl boss.
Donc je tiens à le préciser : oui même si tout s’est bien passé pour moi, un bébé reste quand même un changement de vie énorme.
Parfois je repense avec nostalgie aux longues journées Parisiennes où je flânais de salon de thé en salon de thé pour voir mes amies, aux balades dans les parcs et les rues animées, sans me soucier de l’heure à laquelle je rentrais… Ou même de mes journées où je bossais de 6h du matin à 20h le soir, oui ça me manque aussi !
Alors tu l’auras compris, il n’y a pas de journée type. Surtout quand les douleurs aux gencives des bébés pointent le bout de leur nez. Les poussées dentaires viennent clairement gâcher toute l’harmonie et l’apaisement de ton bébé, enfin du mien en tout cas.
Mais en général, depuis plusieurs semaines maintenant (je ne sais pas quand cela va changer), minie Baker dort entre 21h et 23h. Cela dépend des jours, de son humeur, de ses dents qui poussent. Elle se réveille entre 7h et 8h30.
Quand tout va bien, ce qui représente quand même 80% du temps, après la tétée du matin, notre petite routine câlin puis soin de bébé et habillement, elle aime jouer, seule, pendant environ 30mn à 1h. Parfois plus parfois moins. À ce moment là je prends mon petit déjeuner et je commence à traiter mes mails et plus si possible.
Ensuite, elle réclame sa sieste du matin, entre 9:30 et 10h. Cool, la deuxième session de travail peut commencer et elle dure entre 30mn et 1h30. Elle a besoin d’une seconde sieste dans l’après midi de la même fourchette de temps. Puis parfois une petite sieste en fin d’aprem.
Entre les siestes, les repas, les changements de couche et les moments où je joue avec elle, je la laisse vraiment jouer en autonomie.
Chaque maman sait ce qui est le mieux pour son bébé. Certaines mamans ne pourraient pas laisser jouer seul leur bébé pendant une heure. Moi je sais et je sens qu’elle aime ça, elle s’éclate avec ses jouets. Elle se tourne et se retourne dans tous les sens, elle expérimente des bruits avec sa bouche… Alors je suis toujours à côté, je l’encourage quand je vois qu’elle fait de nouvelles choses. Mais je n’interviens dans ses jeux que si elle donne des signes.
Mon bébé se fait super bien comprendre : on sait quand elle a envie de dormir, quand elle a faim, quand elle veut qu’on change sa couche… C’est un avantage à mon avis aussi d’être h24 avec son bébé c’est qu’on comprend très vite son langage.
– Même si mon témoignage sur le post partum donne de l’espoir, je te conseille de te préparer à cette période. Je ne sais pas si je l’aurai aussi bien vécu si je ne m’étais pas attendu à l’apocalypse tu vois.
En m’attendant au pire, j’ai au final pris tous les minis bonheurs comme d’énormes bienfaits et je pense que ça a contribué à ma santé mentale durant ces 3 premiers mois.
Donc prépare-toi au post partum, écoute des témoignages, apprend aussi ce qui se passe au niveau scientifique dans ton corps à ce moment-là. Ça aide énormément à se comprendre et à accepter ce qui nous arrive.
– Prépare-toi aussi à l’accouchement, on est d’accord là-dessus.
– COMMUNIQUE avec ton mari / mec / conjoint. S’il y a bien une période dans sa vie durant laquelle il ne doit y avoir AUCUN tabou avec son partenaire de vie, c’est bien la grossesse, l’accouchement et l’après.
Personnellement je n’ai rien caché. Dès que j’apprenais une nouvelle chose, je lui balançais toutes les informations. J’avais énormément communiqué sur toutes les éventualités de l’accouchement : les émoragies, les déchirements, les épisio, la césarienne…
J’avais beaucoup parlé du post partum « tu sais après l’accouchement il est possible que pendant une période je ne sois plus moi-même, que je sois très fatiguée, chiante, triste, déprimée« . Je lui avais dit « c’est une période qui passe mais j’aurai besoin de toi pour me soutenir et me supporter si je deviens horrible à ce moment-là ».
Bref, je l’ai autant préparé que moi, pour toutes les étapes : la grossesse, l’accouchement puis ensuite quand le bébé est là.
Et je suis convaincue que de TOUT dire, de TOUT partager sur cette période et ce qui est possible d’arrivér aide les papas à comprendre et surtout ça les responsabilise.
NON le bébé, l’accouchement, le post partum ne doivent pas être que notre responsabilité sous prétexte que nous portons l’enfant. Le papa a un rôle énorme a jouer pendant la grossesse, l’accouchement et le post partum et ensuite toute sa vie avec son enfant.
Vu que la société met en général tout sur le dos de la maman, c’est à nous d’éduquer nos conjoints et de leur donner leur part de responsabilité : la paternité.
On dira ce qu’on veut, je pense qu’un père est aussi important qu’une mère dans la vie d’un enfant. Les liens sont différents, certains diront que le lien avec une mère est vraiment spécial du fait de ces 9 mois dans le ventre. Mais je reste persuadée, et mon expérience d’enfant de parents divorcés en étant très jeune parle sûrement pour moi : un papa est aussi important qu’une maman. Et le papa doit le savoir, on doit lui dire pour qu’il se sente investi dans tout ce processus grossesse-accouchement-bébé.
– Vis au jour le jour. Prends les choses comme elles viennent. Ne te prends pas la tête. Il y a des journées difficiles, mais ça passe ! Une journée compliquée n’en annonce pas forcément une seconde le lendemain. Prends soin de toi dès que tu le peux. Tu as fini d’allaiter ton bébé ? Hop tu sais que tu as minimum 2h devant toi, laisse bébé au papa ou à quelqu’un d’autre et file prendre un bain, dormir, manger… Ou bosser si tu en as l’envie (genre comme moi).
– Écoute ton instinct. À mon humble avis, seuls les parents peuvent comprendre à 100% les besoins de leur bébé. Alors, lis, éduque-toi sur le sujet, mais suis ton feeling.
Moi j’ai regardé par mal de vidéos, lus des livres aussi sur la maternité bienveillante etc et ça m’a beaucoup aidé. Mais je faisais surtout confiance à mon instinct. C’est difficile à expliquer mais c’est comme si j’étais connecté à mon bébé, en wifi quoi. Je sais quand elle veut dormir, quand elle a besoin qu’on la change, quand elle est juste pas dans son assiette et qu’elle a besoin de réconfort… et je réponds immédiatement à ses besoins.
– Télécharge l’application baby Tracker. Oups ce conseil là tu ne t’y attendais pas. Nan mais sans rire, cette appli m’a aidé à comprendre le rythme de bébé et surtout à le respecter. Dans cette appli tu notes quand tu l’allaites ou donnes le biberon, quand il dort… ça te sort des graphiques sur les tendances de bébé et paf ! Son rythme naturel te saute aux yeux.
Bref cette appli je l’utilise encore 6 mois après car elle m’aide à me rendre compte des changements de rythmes également. Quand je vois que bébé donne des signes d’inconfort je check l’appli et en effet, je vois qu’elle est réveillée depuis 2h et en général elle a besoin de repos toutes les 2h.
– Organise-toi tout en restant ultra flexible ! Note ce que tu as à faire et fais les choses quand tu le peux. C’est compliqué de s’habituer, de constamment s’adapter selon le rythme de notre bébé, mais là c’est clairement le moment de développer tes compétences en capacité d’adaptation.
– Ne culpabilise pas ! Si tu ressens le besoin de faire garder ton bébé, c’est ok ! Si tu laisses ton bébé des heures avec son papa pour prendre soin de toi, c’est ok !
– Reste à l’écoute de tes besoins et de tes envies.
Je terminerais cet article beaucoup trop long par te dire que tout est possible. Être maman et entrepreneure c’est possible. Être maman, entrepreneure et épanouie aussi ! Il faut simplement se laisser le temps.
Avoir un enfant c’est selon moi, devenir meilleure, donner le meilleur de soi-même tout le temps. C’est épuisant, on est d’accord il faut également penser à prendre du temps pour soi.
Mais avoir un bébé c’est clairement vivre une seconde vie et il faut en profiter.
Aussi, si tu veux en savoir plus sur mon expérience de maternité, j’ai été interviewée par Mamma talk, je te laisse écouter l’épisode !
Si tu as une expérience de maternité / entrepreneure à nous confier, lâche-toi !
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